Rappelez-vous de la VHS, ce bon vieux format qui a bercé notre enfance avec des après-midis Disney à gogo.
Qui aurait cru que son salut viendrait... du porno ? Allons-y pour un petit voyage dans le temps, direction 1975, l'année où le Betacam de Sony et la VHS de JVC font leur entrée fracassante sur le marché.
Au début, le Betacam met une claque monumentale à la VHS, avec une qualité d'enregistrement supérieure et une durée plus longue.
JVC se démène pour rattraper son retard, mais le Betacam semble intouchable. Jusqu'à ce que le monde du porno entre en scène.
L'industrie du porno, voyant l'opportunité en or que représente ces nouveaux formats pour s'inviter dans les salons du monde entier, frappe à la porte des deux géants. Sony, la morale sur les épaules, refuse catégoriquement.
Une décision qui, avec le recul, semble être l'erreur du siècle. JVC, en revanche, saisit l'occasion sans hésiter.
Grâce à l'accueil chaleureux de JVC à l'industrie pornographique, la VHS commence à gagner du terrain.
Elle devient peu à peu le format dominant, laissant le Betacam et sa dignité "porno free" dans les poussières de l'histoire. Ironiquement, c'est le porno qui a donné à la VHS le coup de pouce nécessaire pour surpasser son rival.
Dans les années 80, le Betacam disparaît peu à peu, vaincu et oublié, tandis que la VHS règne en maître, tout cela grâce à une stratégie d'ouverture plutôt... osée. Et voilà, vous connaissez désormais l'histoire d'un des plus grands retournements de situation dans l'univers des formats vidéos.
Alors, surprenant, non ? Si cette histoire vous a intéressé et que vous en voulez plus, n'hésitez pas à vous abonner à notre chaîne YouTube ou à parcourir nos autres articles de blog !
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